"Ecologisme" examine l'évolution de l'écologisme en un mouvement politique influent, mettant en question sa tendance à privilégier la nature au détriment de l'humanité. Il soulève la problématique d'une approche extrême qui va jusqu'à suggérer de réduire la population pour sauver l'environnement. Le texte met en garde contre le potentiel oppressif de l'écologisme, le comparant au marxisme-léninisme dans sa capacité à restreindre les libertés individuelles. Il critique la focalisation sur la réduction des gaz à effet de serre, arguant qu'elle pourrait occulter l'importance de la jouissance de la vie et de l'harmonie avec la nature. L'auteur appelle à un équilibre entre écologie et droits humains, mettant en évidence les enjeux politiques de l'écologisme contemporain.