Le quatrième et dernier tome du Chant des Asturies marque la fin d'une révolution éphémère. Avec Largo Caballero en prison, Indalecio Prieto en France et de nombreux autres rebelles morts ou cachés, Tristan et certains des protagonistes de cette histoire errent dans les montagnes des Asturies, dans l'hiver froid de la défaite. Pour l'écrivain espagnol Óscar Esquivias : "Le Chant des Asturies se termine magistralement. [... ] Alfonso Zapico a composé une symphonie dans laquelle chacun des quatre volumes est un mouvement doté de sa propre personnalité qui, en même temps, s'intègre parfaitement dans l'ensemble. On écoute avec une profonde émotion cette musique qui semble infinie car le silence qui suit la dernière note appartient aussi à l'oeuvre". "Inspiré par les classiques de la littérature russe, Alfonso Zapico redonne vie à un monde disparu, à l'heure où les mines des Asturies ferment et où les témoins disparaissent. Une oeuvre monumentale à la hauteur de ses ambitions".